05 - Middenheim - Une journée bien remplie (et y a pas que la journée qu'est bien remplie...)

Post pour le résumé de la partie du 10/11/2011

médecins, peur, sangs (oui encore), bandages (en français dans le texte), visite de la ville, commérages, forgerons, armuriers, temple (oui encore), marbreries, informations, épées, bières, tourtes, lait de chèvre fermenté et frelaté, taverne halfeling à taille humaine, anneau, coqs, bagarres d'ivrognes, guet, récompenses, soins, tisonnier, des cris ^^, tenus de voyages, des sacs à dos et autres poches, table, chaises, carreaux, ivrognes, méchants, blessures, coma éthylique, pinte renversée . Je crois que j'ai fait le tour.

à votre service.

Résumé des parties précédentes

Après cette longue interruption, résumer les événements précédents n'était pas un luxe...
Voilà qui est fait, dans les grandes lignes de la campagne, sans entrer dans les détails ni les intrigues personnelles. Charge à chacun de compléter des éléments qui lui tiennent à cœur.

Partie n°1 « Une nuit agitée au Trois Plumes »
Venant d'horizons divers et par des routes distinctes, les aventuriers – qui ne se connaissent pas encore – font halte dans une auberge cossue, le long d'une route et d'un fleuve qui furent certainement d'importantes voies de circulation avant l'invasion du Chaos. L'auberge, bien qu'implantée à l'écart du village de Middenstag, est quasiment comble en cette soirée du 8 Nachexen 2522 du Calendrier Impérial. Parmi les résidents, la Gavin Maria Ulrike von Liebewitz et sa suite y ont font halte cette nuit, en transit vers la cité de Middenheim pour participer à un procès à charge.
La soirée et la nuit, riches en péripéties, seront peu reposantes et verront le nombre de clients vivants fortement amputé. Au cœur de quelques tentatives d'assassinat, de contrebande, de chantage, ou d’escroquerie, les PJs révèlent leur caractère et leur savoir-faire, tout en faisant naître auprès des occupants de l'auberge un sentiment de sympathie inégalement partagé.

Partie n°2 « Traversée de la Drakwald »
Quelques uns des PJs, quoique motivés par des objectifs variés, forment un groupe pour rejoindre à pieds le village détruit d'Untergard, qu'ils atteignent le 12 Nachexen. Théâtre d'une lutte acharnée neuf jours durant contre les rejetons du Chaos, le village, presque entièrement ravagé, compte désormais moins de quatre-vingt âmes luttant pour subvenir à leurs besoins.
Une nouvelle tentative des hommes-bêtes pour s'engouffrer dans le village, bien que renforcée par une diversion sur le pont à laquelle les PJs prennent part, sera tenue en échec le jour même. L'annonce d'une importante vague d'assaillants décidera néanmoins les derniers habitants à évacuer le village – avec l'aide des PJs – à travers la Drakwald en direction de Middenheim, pour se placer sous la protection du Graf Boris Todbringer.
Après quelques imprévus (éclaireurs elfes, traces sanglantes d'un guet-apens, vengeance et cérémonie invocatoire, …) et malgré la perte de plusieurs membres du convoi, le groupe affamé atteint les flancs de l'Ulricsberg et les murailles de Middenheim le 17 Nachexen. La cité du Loup Blanc, pourtant l'une des mieux fortifiés de l'Empire, dévoile un triste visage : le déferlement massif du Chaos a été péniblement repoussé, laissant la ville d'Ulric défigurée et exsangue ; les réfugiés des alentours s'entassent et les instances dirigeantes ont lancé la plupart des combattants restants dans une chasse, à la poursuite des vaincus et de leur seigneur de guerre Khazrak le borgne, laissant seul le guet protéger la cité.

Partie n°3 « Middenheim – meurtres dans la ville »
Les PJs, porteurs d'une relique confiée avant son décès par le prêtre de la communauté d'Untergard, vont la restituer au clergé de Sigmar. Peu après s'être installés en ville et en avoir visité plusieurs quartiers, le groupe se voit accusé du meurtre du prêtre auquel ils ont remis l'icône, et du vol de celle-ci. Partiellement disculpés par le Commandant du guet, ils mènent l'enquête sur le vol de l'icône – apparemment de grande valeur car contemporaine de Sigmar – et sur le meurtre, ainsi que sur trois autres meurtres récents similaires (fléchettes empoisonnées) : un garde de nuit du Collegium Theologica, où eu lieu un vol durant la nuit, le portier de la Guilde des Ingénieurs nains, semblant également avoir été victime d'une intrusion et enfin celui d'un inconnu que les PJs identifient comme Gerhard Kroen, un sigmarite dévoué, enterré par ses compagnons – introuvables – sous une stèle gravée d'un « O » et d'un « F » de part et d'autre du marteau et de la comète à deux queues, symboles de Sigmar.
Après une interruption pour défendre les intérêts de la Gavin von Liebewitz lors de son combat judiciaire, les PJs suivent les traces du dernier meurtre, qui les orientent vers les égouts.

Partie n°4 « Middenheim – des rats sous la ville
L'enfoncement dans les égouts, obscurs, bas de plafond et à l'odeur abjecte, se révèle instructive quoiqu'éprouvante : les PJs, accompagnés de Hans Baumer, le bûcheron d'Untergard, y découvrent une antre scavens soigneusement dissimulée. Une progression et un combat difficiles permettent d'éliminer sur leur propre terrain trois de ces créatures répugnantes et sournoises. L'examen des lieux dévoile un ancien autel nain, ainsi qu'une grotte principale dont un des murs est fraîchement décoré d'un crâne humain peint en rouge-brun – vraisemblablement du sang. Une fouille permet de retrouver le cadre en or de la relique, mais sans l'icône.

Partie n°5 « Middenheim – une journée bien remplie »
Les PJs remettent le cadre au Temple de Sigmar, et sont complètement innocentés. Il soignent alors blessures et maladies en s'octroyant le 20 Nachexen un repos mérité. Leur notoriété auprès de culte de Sigmar, comme auprès du Midden Marschall Schultzman, s'étoffe de leurs succès récents et leur vaut quelques menues récompenses sonnantes et trébuchantes, vite converties en matériel divers. Bien entendu, réputation et richesses ne manquent pas non plus d'attiser jalousie et convoitise de quelques marauds de taverne en manque de sensations fortes...

à si j'avais fait un résumer à ma façon, et je me souviens donc du défouloir dans la taverne avec les bandits de petites cours (grands chemins c'est trop gentil pour eux)